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SENATOR BOURNE: Have you any knowledge as to whether precautionary measures were taken by the officers of the ship after word was received of the vicinity of icebergs and ice floes?
MR. FRANKLIN: I have no doubt of that, because of what we have gotten from the testimony before you. As I say, I have not had any talk about the matter with any of the officers and men. I have not had any conversation with them about the matter.
SENATOR BOURNE: Have you or your associates come to any conclusion as to improvements that can be made in legislation that would minimize the possibility of the repetition of a catastrophe of this nature?
MR. FRANKLIN: No, sir, because, as I have just said, we have had no time to thoroughly discuss that.
SENATOR BOURNE: You have not had the time?
MR. FRANKLIN: We have not had the time to do it. We can only say this, that everything we have is open, and we will give you every assistance that we possibly can, in every way. If there are any suggestions that we can make, or any matters in regard to which you desire our opinion, or anything of that kind, we will get our experts to give it to you. We are not experts ourselves. That is what I would like to have you understand.
SENATOR BOURNE: The only deduction you have made is that it is impossible to build a nonsinkable ship?
MR. FRANKLIN: It looks so to-day, from this experience. If you had asked me that a week ago I would have said no. I would have said we had them. . .
Senator, have you cleared up as much as you want to in regard to this Cedric matter? A good deal has been said about that, and I there; and I would like to clear it up if you care to go into it further.
SENATOR SMITH: Right now?
MR. FRANKLIN: If you wish; yes.
SENATOR SMITH: We will take it up after luncheon, or now.
SENATOR BOURNE: I suggest that the gentleman clear up the matter on his own statement, stating what he thinks is necessary to do.
SENATOR SMITH: Now?
SENATOR BOURNE: Let him state where the misunderstanding is and what he thinks is necessary to clear it up.

LE SÉNATEUR BOURNE : Savez-vous si des mesures de précaution ont été prises par les officiers du navire après qu’on a appris qu’il y avait des icebergs et des glaces flottantes à proximité?
M. FRANKLIN : Je n’en doute pas, étant donné ce que nous avons appris des témoignages que vous avez entendus. Comme je l’ai dit, je n’ai pas discuté de la question avec les officiers et les hommes.
LE SÉNATEUR BOURNE : Est-ce que vous ou vos collaborateurs en êtes arrivés à une conclusion quant aux améliorations qui pourraient être apportées à une loi qui réduirait au minimum la possibilité de répétition d’une catastrophe de cette nature?
M. FRANKLIN : Non, monsieur, parce que, comme je viens de le dire, nous n’avons pas eu le temps d’en discuter en profondeur.
LE SÉNATEUR BOURNE : Vous n’avez pas eu le temps?
M. FRANKLIN : Nous n’avons pas eu le temps de le faire. Nous pouvons seulement dire ceci, que tout ce que nous avons est ouvert, et nous vous donnerons toute l’aide possible, de toutes les façons possibles. S’il y a des suggestions que nous pouvons faire, ou des questions sur lesquelles vous aimeriez avoir notre opinion, ou quoi que ce soit de ce genre, nous demanderons à nos experts de vous les faire parvenir. Nous ne sommes pas des experts nous-mêmes. C’est ce que j’aimerais que vous compreniez.
LE SÉNATEUR BOURNE : La seule déduction que vous avez faite, c’est qu’il est impossible de construire un navire insubmersible?
M. FRANKLIN : Cela semble être le cas aujourd’hui, d’après cette expérience. Si vous m’aviez demandé cela il y a une semaine, j’aurais dit non. J’aurais dit que nous les avions. . .
Sénateur, avez-vous éclairci autant que vous le souhaitez le problème du Cedric? Beaucoup de choses ont été dites à ce sujet, et je suis là; et j’aimerais clarifier la question si vous voulez aller plus loin.
LE SÉNATEUR SMITH : Tout de suite?
M. FRANKLIN : Si vous le voulez bien, oui.
LE SÉNATEUR SMITH : Nous en discuterons après le déjeuner, ou maintenant.
LE SÉNATEUR BOURNE : Je suggère que le député clarifie la question dans sa propre déclaration, en précisant ce qu’il estime nécessaire de faire.
LE SÉNATEUR SMITH : Maintenant ?
LE SÉNATEUR BOURNE : Qu’il nous dise où est le malentendu et ce qu’il estime nécessaire pour le dissiper.

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